La nutrithérapie est née il y a 40 ans aux Etats-Unis. Elle prévient et traite les maladies, retarde les effets du vieillissement et optimise santé et vitalité, à l’aide de conseils alimentaires, d’aliments « plus » ou alicaments (aliments suffisamment riches en principes actifs pour avoir des effets-médicaments) et de compléments alimentaires. Le Dr Curtay est la référence française de cette discipline d’avenir. Médecin et pionnier de la nutrithérapie, il enseigne depuis 1989 dans plus de vingt pays. Il a formé 5000 médecins, écrit 14 livres et a créé la première consultation de nutrithérapie de France. Il est Président de GreenHealth, un mouvement pour la santé globale (alimentation, environnement) et membre de l’Académie des Sciences de New York, membre du bureau éditorial du Journal of Nutritional and Environmental Medicine. Il a créé le site www.lanutrithérapie.com.

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Comment le Dr Curtay devient Nutrithérapeute

Après avoir achevé ses études de médecine en France, le Dr Curtay séjourne sept ans aux Etats-Unis, à l’Université de Californie, pour parfaire ses connaissances en psychiatrie.  Ce passionné de littérature et de peinture, de poésie et de musique, trouve un jour, dans l’armoire à pharmacie du neurologue américain qui l’héberge, des compléments alimentaires destinés à soigner.  Poussant la curiosité plus loin, il se rend à la bibliothèque de la faculté où il découvre une immense documentation sur les liens entre l’alimentation et la santé.  Comment se fait-il que pendant ses études de médecine en France, personne n’en ait jamais fait mention ? Les travaux d’un français conservés dans cette bibliothèque américaine attirent tout particulièrement son attention : le magnésium aurait des propriétés antihistaminiques : « justement », raconte le Dr Curtay, « chaque fois que j’allais à ma maison de campagne, je faisais des crises allergiques éprouvantes à la poussière, j’ai donc pris du magnésium et quelle ne fut pas ma surprise : plus de symptômes. En plus, je me suis trouvé moins tendu, mieux dans ma peau.  J’ai élargi cette expérience personnelle à mon entourage et trouvé confirmation de cet effet.  J’ai entrepris des recherches dans différents instituts américains, ce qui explique mon long séjour américain et canadien destiné à rassembler les connaissances en la matière et à en faire une synthèse. »

Revenu en France en 1987, le Dr Curtay s’installe comme nutrithérapeute.  Il compte de plus en plus de patients satisfaits.  Fort de ses connaissances et de sa clinique, il commence à rédiger des articles, à donner des cours aux médecins intéressés et à mettre au point des formules pour certains laboratoires.

Marginal hier, plébiscité aujourd’hui

Cela fait maintenant 29 ans qu’il creuse, cherche, compile, réfléchit, approfondit, lit tout ou presque, assiste et participe à des colloques, prend contact, communique, écrit ses livres. « Au début, je recevais des marginaux, des végétariens, mais maintenant, de plus en plus de patients de tous milieux et de toutes pathologies consultent.  Malheureusement, toutes ces études, ces recherches, ces informations ne sont pas intégrées ni enseignées en fac de médecine. »

« Aujourd’hui », ajoute-t-il, « on peut dire que le processus est irréversible.  Il s’agit de biochimie pure et dure, tout est clair, et notre médecine entièrement dirigée contre la guerre à la maladie devra tôt ou tard se rendre à l’évidence : l’aliment reste le premier médicament. » Tout le monde reconnaît les liens entre le sel et la tension artérielle, entre la vitamine D, le calcium et l’ostéoporose, entre l’iode et le crétinisme, entre la vitamine C et le scorbut.  Le cancer ou la maladie d’Alzheimer seraient-ils à l’abri des influences alimentaires ?

Aujourd’hui, on peut se réjouir d’une accélération à tous niveaux : par exemple, le Conseil général des Pyrénées orientales a chargé le Dr Curtay de remettre à plat les recommandations en matière nutritionnelles dans son secteur public (collectivité, cantines, maison de retraite..)

 Preuves scientifiques : des références par milliers 

Il en existe des études, des preuves scientifiques mais elles ne semblent pas déclencher de prise de conscience de la part du corps médical. Certains patients en savent beaucoup plus que leur médecin. Et pourtant indique le Dr Curtay : “On dispose aujourd’hui d’une étude majeure (NHANES) qui a 65 ans de recul, d’une étude sur le cholestérol sur plusieurs générations, de l’étude européenne Epic, de l’étude Suvimax qui a permis de se rendre compte, par exemple, que la carence en fer n’était pas la plus fréquente : 67 % des femmes réglées n’ont pas de carence, la supplémentation en fer si souvent prescrite est dangereuse : le fer est pro oxydant et pro inflammatoire, sans oublier l’étude Euronut sur les personnes âgées en Europe, pour n’en citer que quelques unes.”

Santé publique : il est urgent d’agir

« Le problème en France, c’est que le chercheur reste uniquement préoccupé à chercher : il ne se sent pas concerné par l’amélioration de la santé publique.  Ses résultats ne sont pas suivis d’action.  Pour lui, le mot de la fin est souvent : « Ça mérite une étude supplémentaire », et ainsi, il continue de chercher.  De dizaines de milliers d’études sont pour ainsi dire perdues, alors que le trou de la sécu s’agrandit et qu’il est au contraire urgent de s’en servir pour passer à l’action. En 100 ans, on a gagné 30 ans d’espérance de vie, ce qui explique à quel point les orientations de la politique de santé publique deviennent un enjeu majeur : de plus en plus de retraités sont touchés par les maladies d’Alzheimer, de Parkinson, par les cancers.  Il est urgent que chacun apprenne à prendre soin de sa santé pour rester actif le plus longtemps possible. Pour lui-même et pour les autres. »

Très peu de médecins sont spécialisés en nutrition.  Bien sûr, certains médecins pratiquant l’acupuncture ou l’homéopathie donnent quelques indications en matière de nutrition, mais en fait ils n’ont absolument pas le temps, étant donnée la diversité de leur pratique, de suivre l’actualité de la recherche, et donc d’en faire profiter leurs patients.  Je dirais que les journalistes sont plus en avance que les médecins.  « Pourtant en réalité, dit le Dr Curtay, « on aurait des résultats formidables en termes de santé publique avec des recommandations simples et une consultation adaptée : il suffirait au médecin de poser deux questions aux patients : que mangez-vous ? De quoi vous plaignez-vous ? A partir de là, de ce simple bilan, on peut déjà faire beaucoup pour améliorer la santé du patient. Les analyses biologiques pourront, dans un deuxième temps, compléter la prescription alimentaire.  En réalité, il y aurait quelques grandes mesures à prendre en termes de carences, et déjà de grands pas seraient faits. »

Notons cependant que des initiatives sont déjà en marche, rendez-vous sur www.greenhealth.fr et http://www.cg66.fr : l’action principale est présentée dans la charte “Sois bien dans ton assiette” pour les cantine scolaires commandée à Greenhealth par le Conseil Général des Pyrénées Orientales.

L’oxygène, 12 cuillères par minute

En premier lieu, une attention particulière doit être portée à la respiration : sans oxygène pas de vie et aujourd’hui, la pollution, la sédentarité, le stress limitent notre respiration.  C’est LA priorité : prendre conscience de sa respiration, apprendre à mieux l’installer en chacun de nous, se donner le temps, les lieux, les moyens, le bonheur, de remettre cet outil majeur et gratuit, à la place qu’il mérite.

Découvrez un court outil à consommer sans modération : http://www.youtube.com/watch?v=9k0hS8zBSos

Le magnésium : énergie et communication

Ensuite, le magnésium : aujourd’hui, un complément quotidien est souhaitable : dans nos pays, la carence en magnésium est la première cause de fatigue, de manque d’énergie, de mauvaise gestion du stress, souvent accompagné de spasmes, de crampes, d’insomnie, de troubles musculo-squelettiques, de palpitations, pour ne citer que ces pathologies-là. Le magnésium  permet au glucose de pénétrer dans la cellule et d’être converti en énergie.  Son absorption corrige les déséquilibres de tous les systèmes : circulatoires (mains froides, par exemple), troubles musculo squelettiques (crampes…), anxiété, constipation (voyez l’action de l’eau d’Hépar). Des études ont montré que la carence en magnésium est pro inflammatoire, que dans cet état, les globules blancs sont activés.  S’ensuit une augmentation du stress oxydatif qui, par la libération de radicaux libres, est source d’inflammation, et voilà le cercle vicieux installé et tournant à plein rendement. On sait que la cellulite, comme son nom l’indique, est de l’inflammation cellulaire, elle participe au surpoids et empêche la perte de poids. Dans ce cas, par exemple, les globules blancs sont mobilisés comme s’il s’agissait d’une maladie.  En effet, l’accumulation dans le tissu adipeux est comprise comme un corps étranger.

La chlorophylle est gorgée de magnésium, ainsi donc les légumes verts, les légumes secs, les oléagineux, les céréales complètes ou semi complètes. Mais nos aliments sont tellement manipulés et appauvris, notre stress a tellement augmenté et nos dépenses physiques ont tellement diminué que les compléments s’avèrent aujourd’hui extrêmement utiles. Nous ne pouvons pas consommer en termes caloriques les quantités qui nous sont nécessaires en termes d’apports de micronutriments. Ainsi, utilisez de l’eau minérale comme base de soupe ou de boissons chaudes.  Les meilleures sont : Badoit, San Pellegrino, Hépar, Contrex, St Antonin.

Il est important de choisir un complément de magnésium qui présente la meilleure  biodisponibilité.  Le magnésium marin ou le magnéB6, magnésium de 2ème génération, est aujourd’hui dépassé.  La troisième génération, fabriquée dans les années 90, a le mérite d’être liposoluble et non laxative. La formule idéale est donc : glycérophosphate, B6, taurine.  Pendant 2-3 mois, 600 mg en dose d’attaque, matin, midi, soir. On constatera une baisse de la réactivité au stress, progressivement.  Comment connaître sa dose de croisière ?  Se sentir tout le temps comme si on était en vacances.

Les oméga 3 ou la fluidité corporelle

Nos corps sont saturés de mauvaise graisse, de graisse saturée, rigide.  Trop d’oméga 6 par rapport aux oméga 3.  Pour augmenter notre consommation d’oméga 3 : arroser nos légumes de trois cuillers à soupe d’huile de colza par jour, remplacer les graisses saturées (viande, charcuterie, produits laitiers…) par trois poissons gras pas trop cuits ou crus par semaine (marinés, vapeur, pochés).  Ces recommandations nutritionnelles suffiraient à condition que notre terrain ne soit pas déjà abîmé par des années de malnutrition.  Ainsi, il faut, pour retrouver un terrain souple et moins oxydé, corriger notre composition corporelle : la dose correctrice, par complémentation, devra se prendre pendant 18 mois et correspondra à 3 fois la dose journalière recommandée, pour ensuite passer au poisson et à l’huile de colza en terme strictement alimentaire.

Et pour finir un cocktail d’antioxydants, de polyphénols, de flavonoïdes et une cure de vitamines B (B fabre1 mois en dose correctrice).

Il n’est pas utile de faire un bilan biologique sur ces références.

Depuis cinquante ans, notre alimentation industrielle, la pollution respiratoire, l’appauvrissement des sols, créent des carences à l’origine de très nombreuses et très graves maladies.  Ces compléments permettent de lutter contre l’inflammation qui, on le sait aujourd’hui, fait le lit de tant de pathologies dégénératives.  Même dans la lutte contre le surpoids le plus simple, ces ingrédients sont essentiels.

Aujourd’hui, s’il est pratiquement de notoriété publique que le diabète ou les maladies cardiovasculaires, ont des liens avec notre alimentation, le rôle de cette dernière dans les maladies dégénératives, comme l’Alzheimer, le Parkinson, les maladies auto immunes, les maladies du psychisme comme la dépression, est beaucoup moins reconnu.  « L’effet de la nutrition sur la maladie d’Alzheimer est énorme, il y a par exemple 50% en moins de cas d’Alzheimer chez les personnes non affectés par les problèmes de tension artérielle, et cette tension est, en grande partie, liée à une alimentation non adaptée.  Il existe une littérature considérable sur le lien entre nutrition et Alzheimer, il suffirait de vouloir s’y pencher. »  Jean-Paul Curtay a eu la bonne idée de se tourner vers les peuples qui présentent la plus grande longévité avec le moins de pathologies dégénératives.  C’est la petite île d’Okinawa au Japon qui présente le meilleur profil. Arrêtons-nous y un instant.

Okinawa et nous

L’archipel tropical d’Okinawa, situé à l’extrême sud du Japon, détient le record mondial de longévité en bonne santé.  Il présente un modèle alimentaire couplé à un mode de vie adapté à la physiologie et à la psychologie humaine, bien au-delà de ce qu’avait apporté le modèle crétois.  Ce modèle a été étudié pendant 38 ans par le docteur Makoto Suzuki, fondateur de l’Etude des centenaires d’Okinawa, professeur honoraire à l’Université de Ryukyu (Okinawa). Son étude, financée par le ministère de la santé japonais, est la plus longue étude au monde sur ce sujet.  Le modèle Okinawa a été reconnu par l’OMS en 1995.  Qu’en est-il ?

A Okinawa vivent 15% des super centenaires connus.  Les Anciens ne présentent ni surpoids, ni de diabète, 80% de maladies cardiovasculaires et de cancers en moins que chez nous et 10 fois moins de perturbations cognitives sérieuses.  Ils restent actifs et sont honorés comme des porte-bonheur.  Alimentation saine dans un contexte calme, exercice physique régulier, équilibre psychologique.  C’est bien le mode de vie qui est adapté et non une quelconque prédisposition génétique dont ils bénéficieraient. Leur alimentation repose sur une dominante végétale, cru ou cuit à basse température, accompagnée d’aliments riches en vitamines et minéraux, légumineuses, algues, poissons et coquillages, herbes et épices, thé vert.  Les habitants d’Okinawa consomment de petites portions, ne boivent pas beaucoup d’alcool, consomment trois fois moins de sucre que nous, utilisent peu le micro ondes ou le barbecue.  Les personnes âgées sont entourées et utiles, les habitants sont tranquilles, la spiritualité est présente, ainsi que l’activité cérébrale.

Grands principes en quelques lignes

Manger moins et se détendre avant de manger ; consommer 5 à 7 légumes et fruits par jour, ainsi que du soja, des algues, des céréales complètes ; davantage de poissons maigres et de coquillages ; diminuer les produits laitiers ; éviter les desserts ; boire du thé vert ; fragmenter les repas ; bouger ; baisser le stress en pratiquant la pensée positive ; garder le contact avec les personnes âgées.  S’appuyant sur ces principes de base et les conclusions de nombreuses études sur alimentation et santé adapté aux sociétés occidentales, le Dr Curtay a créé un outil d’information, d’éducation et de mise en pratique. Il requiert 2 minutes d’attention par jour sur 9 mois.

2 minutes par jour pendant 9 mois pour intégrer la meilleure alimentation possible dans votre vie

Le parcours Okinawa, premier programme de télécoaching nutrition et anti-âge, s’appuie sur l’étude des centenaires d’Okinawa, présentant la meilleure santé au monde pour l’âge le plus avancé.

Un programme d’accompagnement progressif de neuf mois, à raison de cinq vidéos de 2-3 minutes et une avancée du jour chaque semaine est disponible sur internet.

Vous seront proposés jour après jour :

Les fondamentaux de l’alimentation anti-âge, aliment par aliment, nutriment par nutriment.

Le rapport affectif aux aliments.  La gestion du stress et des pulsions.  Les techniques de changement d’habitudes.  Les techniques énergétiques.  La visualisation-méditation comme moyen de décharger les tensions et de se revitaliser.  Les exercices physiques anti âge.  Des techniques d’auto-traitement pour évacuer les inconforts musculaires au jour le jour.  Les moyens d’optimiser humeur, convivialité, créativité.

Premier trimestre : les fondations du programme.  Deuxième trimestre : la mise en pratique. Troisième trimestre : le renforcement

Et pour vous accompagner, le Dr Curtay a prévu un coaching nutritionnel intitulé Parcours Okinawa.

Raïssa Blankoff

Découvrez le site

www.lanutritherapie.com/nutrition

Venez gratuitement pendant 10 jours : identifiant : invite, mot de passe :  okinawa.

Renseignements : 04 66 53 44 66 ou okinawa@lanutrition.fr

Voici deux liens qui permettent de revoir les deux émissions récentes qui mettent en avant  le modèle Okinawa : Zone Interdite (M6) du 25 Octobre : http://preprod.dailymotion.com/video/xaxhot_la-cuisine-japonaise-en-france-et-a_sport et 10H le Mag (TF1) du 10 Novembre : http://www.wat.tv/video/emission-10-novembre-2009-2-1x14m_128fe_.html

Des séjours, aux Thermes d’Allevard par exemple, sont aussi proposés par pathologies (minceur, fibromyalgie …) : www.thermes-allevard.com : deux séjours aux Thermes d’Allevard (40 mn au-dessus de Grenoble) des 19 au 23 Juillet et des 16 au 20 Août alternant conférences, ateliers-cuisine et soins thermaux. L’hôtel Splendid à Allevard, construit par Eiffel, propose un forfait intéressant : 825 euros la cure (en lieu et place de 750 euros pour la cure seule).

Si vous préférez la mer, partez en croisière santé : tout sur  http://www.lanutritherapie.com/index.php?Pause_sante

200 euros d’avoir avec le code “okinawa”

Bibliographie

 La nutrithérapie, Bases scientifiques et pratique médicale,  4ème édition, Testez Editions, Belgique, 2006. Première édition chez Boiron.

Okinawa, un programme global pour mieux vivre, Anne Carrière, 2006 (aussi en poche, même éditeur)

Le guide familial des aliments soigneurs, en collaboration avec le Dr Rose Razafimbelo, Paris, Albin Michel, Paris, Albin Michel, 2005. Plus de 100.000 exemplaires vendus, 4ème édition, aujourd’hui publié en poche

Le programme de longue vie, en collaboration avec Thierry Souccar, Le Seuil,1999

Le nouveau guide des vitamines, en collaboration avec Thierry Souccar, préface Prof. Jean Dausset, Paris, Le Seuil, 1996,

L’encyclopédie pratique des vitamines, des minéraux et des oligo-éléments, en collaboration avec Josette Lyon, Paris, Hachette 1996

La saga des vitamines, en collaboration avec Josette Lyon, Paris, Josette Lyon, 1995

Ce livre a bénéficié de beaucoup de presse, deux articles dans Paris Match en 1991 (Sabine de la Brosse), deux dossiers dans le Nouvel Observateur, et a créé une polémique très sérieuse : cent chercheurs ont écrit un pamphlet contre le livre.  Ils attaquaient le fait qu’on diabolise des aliments.